LE BARDE :
Nombre de messages : 1541 Age : 80 Localisation : sous un cep de vigne: Mâcon Date d'inscription : 17/07/2007
| Sujet: on conduit ou pas!! que faire? Mar 18 Aoû 2009 - 13:02 | |
| Douze contre-indications médicales à la conduite
Christophe Cornevin 20/07/2009 | Mise à jour : 23:11 figcom_sep_bulle='avec';
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Sont visées les maladies pouvant «entraver la rapidité et la précision des mouvements». Crédits photo : Le Figaro
Une liste noire de douze pathologies incompatibles avec la prise du volant a été établie en 2004 sur proposition d'un groupe d'experts. Insuffisance cardiaque très sévère ou somnolence excessive en font partie.
En 2004, douze altérations fonctionnelles ont été, sur proposition d'un groupe d'experts, identifiées comme incompatibles avec l'obtention ou le maintien du permis de conduire, car pouvant «entraver la rapidité et la précision des mouvements complexes qu'implique le maniement des commandes d'une voiture». «Elles concernent des affections lourdes et durables qui peuvent se rencontrer à tous les âges de la vie», notent les experts. Insuffisance cardiaque très sévère permanente, cardiomyopathie hypertrophique symptomatique, acuité visuelle inférieure à 5/10 de loin malgré une correction optique, blépharospasme incoercible (fermeture permanente et incontrôlable des paupières) ou diplopie (vision double) permanente, instabilité chronique à l'origine de troubles graves de l'équilibre et de la coordination, dépendance à l'alcool ou aux drogues, somnolence excessive, démence très évoluée, paralysie des membres supérieurs sans possibilité d'adaptation du véhicule et psychose aiguë forment cette liste noire. » La Sécurité routière veut surveiller les conducteurs malades
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Sécurité : les conducteurs malades mis sous surveillance
Christophe Cornevin 20/07/2009 | Mise à jour : 23:06 figcom_sep_bulle='avec';
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Jeudi dernier dans l'Yonne, deux jeunes scoutes ont été fauchées par une voiture dont le conducteur aurait eu une «absence due à une pathologie parente de l'épilepsie». Crédits photo : AFP
À l'automne, les médecins devraient se réunir pour mieux signaler les inaptitudes à la conduite.
La tragédie a relancé le débat sur l'inaptitude médicale à la conduite. Jeudi dernier, deux jeunes scoutes trouvent la mort à Saint-Privé (Yonne) après avoir été fauchées par une voiture. Âgé de 20 ans, le conducteur a eu une «absence due à une pathologie parente de l'épilepsie». Il venait de consulter un spécialiste de ce type de maladie, sans que personne ne tire le signal d'alarme. Pour le moins préoccupant, ce cas est loin d'être isolé. Vue détériorée, mouvements altérés par l'arthrite ou un rhumatisme aiguë, insuffisances cardiaques, démence, accoutumances aux psychotropes… Le nombre des grands malades au volant serait tel que les experts tirent le signal d'alarme. «Un million d'automobilistes ne devraient pas conduire en raison de leur état de santé», estime le professeur Henry Hamard, membre de l'Académie de médecine. En France, les chauffeurs de poids lourds ou de transports en commun sont soumis à de régulières visites médicales pour valider le maintien de leur permis mais les conducteurs de véhicules légers peuvent rouler en toute impunité. «En théorie, au moment de passer leur permis, les candidats devraient remplir une déclaration affirmant qu'ils ne présentent aucune des douze pathologies interdisant la conduite selon le décret de 2004, explique le docteur André Deseur, président de la section exercice professionnel au Conseil national de l'ordre des médecins. Mais cette demande d'information est souvent escamotée…»
Permis délivré à vie
Les détenteurs du permis B sont donc dispensés à vie de tout contrôle. Or le vieillissement de la population ne fait qu'accroître le nombre d'inaptes à la route. Pas question cependant de stigmatiser les seniors plutôt prudents. Les plus de 65 ans ont eu à déplorer 567 morts sur la route en 2008, quand les 18-24 ans en enregistraient 788. Reste que la prise en charge des pathologiques du bitume est un problème sur lequel règne le plus grand mutisme des médecins, soumis à un pesant secret professionnel. «Si un praticien découvre un problème, il doit en avertir son patient sans pouvoir le dénoncer sous peine de violer le respect dû aux personnes prévu par le Code pénal, précise le docteur André Deseur. D'un point de vue moral, nombre de confrères vivent mal ces situations, sachant qu'elles mettent en péril la vie de leur patient, de leur famille et de n'importe qui sur la route…»«Face à ce problème majeur, le généraliste est impuissant, selon le professeur Hamard. Il n'a d'autre pouvoir que de conseiller le malade ou son entourage pour abandonner la voiture.»
Engager sa responsabilité
Mais cette démarche reste lettre morte : «Le permis étant délivré à vie, son titulaire ou ses proches n'alertent jamais le préfet. Celui-ci pourrait prescrire un examen médical qui entraînerait un retrait du permis, confie le colonel Guy-Patrick Fontenaille, chef du bureau de la sécurité routière à la gendarmerie. À la campagne, la perte du permis est considérée comme une mort sociale…» Dans de rares cas, les préfets sont alertés par les forces de l'ordre lors d'accidents ou des contrôles routiers. «Et encore, nous ne décelons que des pathologies visibles à l'œil nu, concède l'officier. Or il est rare qu'un épileptique vienne s'en vanter lors du contrôle…» Dès l'automne, le Conseil de l'ordre des médecins, l'Académie de médecine et la Sécurité routière se réuniront pour mieux responsabiliser les conducteurs. «Régulièrement, en fonction de l'âge, chaque automobiliste retournerait en préfecture un questionnaire pour dire s'il souffre d'une nouvelle pathologie depuis la délivrance de son permis ou du dernier contrôle», révèle le docteur Deseur. En cas de fausse déclaration, il engagerait alors sa responsabilité civile et pénale. Son assureur pourrait refuser de lui couvrir toute prestation.» Les examens de contrôles, estimés à environ 30 euros, pourraient être pris en charge par les compagnies. «Sachant que l'accidentologie induit un coût élevé aux assurances, c'est toujours mieux que de verser des rentes à vie…», considère-t-on au Conseil de l'ordre.
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kaupain
Nombre de messages : 3 Age : 70 Localisation : Mulhouse Date d'inscription : 18/08/2009
| Sujet: Re: on conduit ou pas!! que faire? Mer 19 Aoû 2009 - 22:50 | |
| La première fois que je me suis présenté devant la commission médicale du permis de conduire pour la validation de mes permis (PL, remorque et ambulance, on m'a envoyé chez un pneumologue, unun cardiologue et un neurologue avec pour chaqu'un un questionnaire à remplir.... après cela, on m'a validé mon permis pour une seule année au lieu de 5 ans.... la fois suivante, on m'a demandé si j' étais toujours sous PPC et on m'a demandé un certificat médical l'attestant....résultat : permis validés pour 5 ans.... début de cette année, je suis repassé devant la commission et j'avais emporté une copie du rapport d'observance fait par mon prestataire et le médecin qui présidait m'a déclaré que pour lui, un conducteur qui traite des apnées du sommeil ne fait plus d'appnée du sommeil et m'a donc validé mes permis pour 5 ans.... Le même jour, je passais chez le médecin du travail qui m'a déclaré apte... Un petit problème de santé survenu 2 h après, fait que je n'ai pas retravaillé depuis ce jour..... comme quoi.... | |
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LE BARDE :
Nombre de messages : 1541 Age : 80 Localisation : sous un cep de vigne: Mâcon Date d'inscription : 17/07/2007
| Sujet: Re: on conduit ou pas!! que faire? Jeu 20 Aoû 2009 - 6:44 | |
| hé ben comme quoi aller voir son médecin ne guérit de rien du tout!!! | |
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marie-agnès Admin
Nombre de messages : 2254 Age : 68 Localisation : FFAAIR Maison du Poumon Paris Date d'inscription : 28/09/2006
| Sujet: Re: on conduit ou pas!! que faire? Jeu 20 Aoû 2009 - 10:19 | |
| très intéressant ce que tu dis Kaupain | |
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