Les Français restent d'irréductibles fumeurs LE MONDE | 10.01.09 | 14h28 • Mis à jour le 10.01.09 | 14h28
function expandBarrePartager()
{
if($("#barrePartager").css("display")=="none")
{
$("#barrePartager").fadeIn("slow");
}
else
{
$("#barrePartager").fadeOut("slow");
}
}
if ( 'undefined' == typeof MIA) MIA = {};
MIA.Partage = {
toggled: false,
toggleSharing:function(){if(!MIA.Partage.toggled){document.getElementById('shareTools').style.display='block';MIA.Partage.toggled=true}else{document.getElementById('shareTools').style.display='none';MIA.Partage.toggled=false}},
ouvrirPopup:function(url,titre,parametres){
var expression = /[^*]width=([0-9]*)[^*]/;
expression.exec(parametres);
var popup_width=RegExp.$1;
expression=/[^*]height=([0-9]*)[^*]/;
expression.exec(parametres);
var popup_height=RegExp.$1;
var left=(screen.width-popup_width)/2;
var top=(screen.height-popup_height)/2;
var params=parametres+',top='+top + ',left='+left;
var win=window.open(url,titre,params)}
}
Un an après sa mise
en oeuvre, l'interdiction de fumer dans les lieux publics et de
convivialité est entrée dans les moeurs. Les serveurs et les barmen
respirent mieux mais les Français restent des irréductibles... fumeurs.
Malgré le durcissement de la loi, le tabagisme actif s'élève toujours à
30 % de la population (un chiffre inchangé depuis quatre ans), quand la
moyenne européenne s'établit à 28 %.
if (provenance_elt !=-1) {OAS_AD('x40')} else {OAS_AD('Middle')}
if ( undefined !== MIA.Pub.OAS.events ) {
MIA.Pub.OAS.events["pubOAS_middle"] = "pubOAS_middle";
}
OAS_AD('Frame1')
Sur le même sujet
Les faits
Tabagisme : le gouvernement hésite entre images chocs et absence de packaging
Edition abonnés
Archive : Fument-ils en dormant ?, par Laurent Greilsamer
init_boite_meme_sujet = function()
{
if ( "undefined" != typeof MIA && "undefined" != typeof MIA.Ensemble && ("undefined" == typeof MIA.Ensemble.initEventLoaded || !MIA.Ensemble.initEventLoaded) )
{
var ensemble_id_defaut = 1130341;
var hash_url = window.location.hash;
var re = /^#(.*)ens_id=(\d+)[^\d]*.*$/;
var ensemble_id_url = hash_url.replace(re, "$2");
if ( ensemble_id_url && ensemble_id_url != hash_url )
MIA.Ensemble.ensembleId = ensemble_id_url
else
if ( ensemble_id_defaut )
MIA.Ensemble.ensembleId = ensemble_id_defaut
if ( "" != "" )
{
MIA.Ensemble.titreBoite = "";
}
MIA.Ensemble.initEventLoaded = true;
MIA.Ensemble.formaliseBoiteMemeSujet();
}
}
if ( (pave=document.getElementById('pave_meme_sujet_hidden')) ) pave.style.display = 'none';
if(window.addEventListener )
window.addEventListener('load', init_boite_meme_sujet, false);
else
window.attachEvent('onload', init_boite_meme_sujet);
"On a arrêté de se focaliser sur les fumeurs, pour se
concentrer sur le tabagisme passif. Or ces campagnes n'ont eu aucun
impact sur les fumeurs", estime le professeur Bertrand Dautzenberg,
président de l'Office français de prévention du tabagisme (OFT).
L'évolution du nombre de fumeurs a atteint un palier, reconnaît le
directeur général de la santé, Didier Houssin : "On doit maintenant trouver de nouveaux moyens pour s'attaquer au cas des gros fumeurs, qui ont beaucoup de mal à arrêter."
HAUSSE DES PRIXEn
termes de santé publique, l'impact de l'interdiction de fumer reste
encore à préciser. Un premier "coup de thermomètre", non renouvelé
depuis, avait été réalisé en février 2008 et notait une baisse de 15 %
des admissions aux urgences pour infarctus du myocarde et accidents
vasculaires cérébraux.La ministre de la santé, Roselyne Bachelot,
a annoncé, mercredi 7 janvier, le lancement d'une étude scientifique
sous l'égide de l'Institut de veille sanitaire (InVS). "Les études
réalisées dans les pays qui ont mis en place cette mesure avant nous
(Italie, Ecosse, Irlande, Etats-Unis) nous incitent à être optimistes,
indique Than Le Luong, directrice de l'Institut national de prévention
et d'éducation sur la santé (Inpes). Le recul des infarctus du myocarde
et des syndromes coronaires aigus s'élève à 11 % en moyenne."Alors
que l'OFT déplore la stagnation du nombre de cigarettes vendues (autour
de 54 milliards par an depuis quatre ans), les buralistes soulignent
que les ventes réalisées en 2008 (53,3 milliards) représentent une
baisse d'un tiers comparées à celles réalisées en 2002 (80,5
milliards). Des chiffres qui ne prennent pas en compte les cigarettes
achetées à l'étranger, pas plus que la contrebande et la contrefaçon.Finalement,
seule la hausse des prix du tabac dans les années 2003-2004 a vraiment
permis de diminuer la consommation. Les fumeurs semblent s'être
habitués au tarif des cigarettes et ne plus faire attention aux
messages de prévention inscrits sur les paquets. D'où le souhait de la
ministre de la santé, Roselyne Bachelot, d'y apposer des images chocs
"pour ne pas dire très dures" d'ici à la fin de l'année.
Elsa Marnette
mais que faire?????????????