Apnées du sommeil, BPCO si on en parlait
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Apnées du sommeil, BPCO si on en parlait

Malades atteints de maladies respiratoires
 
AccueilAccueil  PortailPortail  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
Le Deal du moment :
Cartes Pokémon 151 : où trouver le ...
Voir le deal

 

 INFOS MEDIAS

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
La_Mouette




Féminin Nombre de messages : 465
Age : 67
Localisation : idf
Date d'inscription : 02/10/2006

INFOS MEDIAS Empty
MessageSujet: INFOS MEDIAS   INFOS MEDIAS Icon_minitimeVen 13 Oct 2006 - 12:19

SOURCE:
http://sciences.nouvelobs.com/sci_20061010.OBS5186.html?1241
Citation :
Le poids de l’obésité sur la mémoire
S urveiller son poids à l’âge adulte permettrait de garder les idées claires en vieillissant, suggère une étude menée par deux équipes de l’Inserm et du CNRS. Les personnes minces ou ayant un poids normal réussissent mieux les tests de mémoire et d’attention que les personnes obèses, ont constaté ces chercheurs.

Jean-Bernard Ruidavets, de la Faculté de Médecine de Toulouse (Inserm) et ses collègues du Laboratoire Travail et Cognition (CNRS, Toulouse) ont mené des tests de mémoire, d’attention et de rapidité du traitement de l’information sur plus de 2.200 hommes et femmes âgés de 32 à 62 ans, entre 1996 et 2001. Les performances étaient moins bonnes pour les personnes dont l’indice de masse corporelle était supérieur à 30 (le seuil définissant l’obésité), une fois éliminé le biais lié au niveau d’éducation. Les chercheurs ont également observé un déclin de la mémoire sur 5 ans pour les IMC les plus élevés.

Ces résultats, publiés lundi dans la revue Neurology, doivent être confirmés à plus long terme, soulignent prudemment les chercheurs.
Ils rejoignent d’autres résultats, souvent préliminaires, qui établissent un lien entre obésité et risque de démence ou obésité et perte de mémoire.

Une équipe américaine a par exemple calculé que le risque de souffrir d’une démence sénile était 74% plus élevé chez les personnes obèses. Pour cela Rachel Whitmer et ses collègues ont étudié une cohorte de 20.000 personnes suivies pendant 27 ans (BMJ, avril 2005).

Selon des chercheurs de l’Université de Saint Louis, la leptine pourrait expliquer les problèmes de mémoire à long terme des personnes obèses. Sécrétée par les cellules graisseuses pour réguler l’appétit, cette hormone ne fonctionne pas correctement chez les obèses, expliquent Susan Farr et ses collègues. Or ils ont montré que les souris qui recevaient des injections de leptine naviguaient plus facilement dans les labyrinthes. Ils pensent que cette hormone est impliquée dans les processus de mémorisation. Les chercheurs ne savent pas encore précisément par quels mécanismes biologiques l’obésité pourrait affecter les capacités cognitives.

Cécile Dumas
(10/10/06)
Revenir en haut Aller en bas
La_Mouette




Féminin Nombre de messages : 465
Age : 67
Localisation : idf
Date d'inscription : 02/10/2006

INFOS MEDIAS Empty
MessageSujet: INFOS MEDIAS Assurance maladie   INFOS MEDIAS Icon_minitimeVen 13 Oct 2006 - 13:26

SOURCE:
http://www.ameli.fr/174/DOC/2760/dp.html#
Dossier à télécharger/sujet/Maîtrise médicalisée des dépenses d’assurance maladie en 2006
Citation :

Maîtrise médicalisée des dépenses d’assurance maladie en 2006 :475 millions d’euros déjà économisés à fin août

Grâce aux efforts conjugués des médecins libéraux, des assurés et de l’Assurance Maladie, la maîtrise médicalisée des dépenses de santé, après les bons résultats constatés en 2005, obtient à mi-année des résultats encourageants : 475 millions d’euros ont été économisés à fin août 2006.
Ces résultats ne sont cependant pas homogènes selon les différents postes de dépenses (arrêts de travail, médicaments, respect des prises en charge à 100%), selon les régions et selon les médecins. Ces efforts doivent donc être renforcés et généralisés dans la perspective de la poursuite du redressement des comptes de l’Assurance Maladie .

Des résultats significatifs pour les arrêts de travail maladie et les médicaments mais il reste encore d’importantes marges de progression
Plusieurs postes enregistrent des évolutions positives sur les huit premiers mois de l’année, qu’il s’agisse des indemnisations des arrêts de travail pour maladie (baisse de 4,9 % du nombre de journées d’arrêts de travail) ou aux médicaments antibiotiques ou psychotropes annuels (avec respectivement -9,4% et – 6,8% en montants sur la période concernée).
Ce changement de comportement des assurés et des prescripteurs est illustré par la baisse des dépenses de remboursement des statines (médicaments contre l’excès de cholestérol) : -3,5% à fin août, après plusieurs années de très fortes augmentations (+ 15% par an sur la période 2000-2004).
Ce résultat s’explique à la fois par le recours de plus en plus fréquent aux génériques mais aussi par une moindre croissance du nombre de boites remboursées. En juillet, le rythme annuel de croissance du nombre de boites remboursées était de + 4,4 %, alors qu’il était encore supérieur à 10 % fin 2005.
Cette modération des volumes est liée à une baisse du nombre d’instaurations de nouveaux traitements anti-cholestérol ( -9% au cours du premier semestre 2006 par rapport à la même époque de l’année dernière), des dosages mieux adaptés et une meilleure pénétration des molécules génériquées.
Cependant, ces progrès doivent être encore renforcés :
- plus de 25 % des médicaments prescrits en première intention correspondent à des dosages ou à des médicaments qui devraient être réservés à des prescriptions de seconde intention ; ce taux était supérieur à 30 % en mars 2005.
- 60% des nouveaux traitements recourent à des molécules qui ne sont pas génériquées.
I l faut rappeler que la situation de départ se caractérisait par une surprescription n’offrant pas aux patients toutes les garanties de qualité :
- ainsi en 2002, selon une étude de l’Assurance Maladie4, 1/3 des patients ayant recours au traitement médicamenteux n’avaient pas eu au préalable l’examen biologique préconisé par les experts de l’AFSSAPS (dosage du LDL-cholestérol) et 1/3 avait des examens biologiques normaux, la moitié n’avait pas suivi de régime alimentaire.
- au début des années 2000, la France avait du reste, selon les études internationales réalisées, une consommation de statines très supérieure à celle de la plupart des autres pays européens (deux fois plus que l’Allemagne, le Royaume-Uni ou l’Italie par .0
exemple), alors que le risque cardio-vasculaire est plutôt faible en France.
La modération des prescriptions de statines n’est donc pas le signe d’un moindre accès aux soins, mais d’une prescription plus ajustée. Elle continue d’ailleurs à augmenter pour certaines catégories, comme les patients diabétiques, ce qui est souhaitable et conforme aux recommandations de bonne pratique.

une dynamique à accélérer sur certains postes:
La prise en Lcharge à 100% dans le cadre des affections de longue durée (ALD).
Un meilleur respect des règles d’exonération du ticket modérateur liées aux affections de longue durée figure également parmi les objectifs de maîtrise.
En effet, au fil du temps, la part des dépenses prises en charge à 100% tend à augmenter progressivement (de 0,7 points par an), en englobant des soins sans rapport avec la pathologie motivant l’exonération.
Une meilleure utilisation de l’ordonnancier bizone (qui permet au médecin de distinguer les soins liés à l’ALD remboursables à 100% des autres types de soins remboursés aux taux usuels) est d’autant plus importante que les dépenses de soins liées aux ALD ont augmenté de 91 % depuis 10 ans*.
Par rapport à cette dérive tendancielle, 1,3 points ont été gagnés en 2005, et 1,3 points à fin 2006 (soins de ville – médecins libéraux). Cependant, cette baisse demeure actuellement insuffisante pour atteindre l’objectif annuel fixé (- 4 points).
A titre d’exemple, la part des médicaments prescrits à tort à 100 % sur le premier semestre 2006 pour 6 affections de longue durée est de 15%, ce qui représente une centaine de millions d’Euros en année pleine.
Ce taux de médicaments prescrits à tort à 100% varie fortement :
- selon les généralistes. Si 1/4 des médecins ont un taux de médicaments prescrits à tort inférieur à 8%, et autant supérieur à 19%, pour 600 médecins le taux de prescriptions exonérées à tort est supérieur à 55%.
- selon les départements. La part des médicaments prescrits à tort à 100 % varie de 8% (Aisne, Meurthe et Moselle) à plus de 20 % (22 % dans les Alpes-Maritimes, les Bouches-du-Rhône, et en Seine-Saint-Denis, 23 % à Paris et 26 % en Corse).
Enfin, il convient de noter que la part des dépenses prises en charges à 100% continue d’augmenter pour les médecins hospitaliers (+ 2,3 points en un an à fin août 2006).

Enfin, les postes de dépenses qui font l’objet pour la première fois d’un
engagement de maîtrise médicalisée en 2006 (médicaments anti-ulcéreux, transports sanitaires) connaissent logiquement des résultats plus modestes à mi-année : -0,9% pour les anti-ulcéreux (objectif annuel de -2%) et +8,4% pour les transports sanitaires (objectif annuel de -3% par rapport à la croissance tendanciel des dernières années).
A ce titre, de nouvelles modalités de prise en charge des transports sanitaires devraient contribuer à une meilleure maîtrise médicalisée de ce poste.


Un engagement sur la durée
Pour conforter ces premiers résultats et les efforts des professionnels de santé et des assurés, l’Assurance Maladie poursuivra et développera d’ici à la fin de l’année de nouvelles actions d’accompagnement et d’information en direction des médecins et des assurés.
Concernant les médecins, les délégués de l’Assurance Maladie iront à la rencontre des médecins libéraux pour faire le point sur la maîtrise médicalisée et les médecins-conseil contacteront les médecins qui prescrivent beaucoup de médicaments anticholestérol.
Rappelons que sur les huit premiers mois de 2006, les délégués de l’Assurance Maladie ont effectué plus de 110 000 visites chez les professionnels de santé libéraux pour leur présenter le programme de maîtrise médicalisée 2006. Ils leur ont présenté
à cette occasion leur situation par rapport à leurs confrères et aux objectifs. L’Assurance Maladie leur a diffusé à cette occasion plusieurs supports d’informations pratiques sur la prise en charge des affections de longue durée et les génériques.
Pendant le dernier trimestre de l’année 2006, les délégués de l’assurance maladie vont à nouveau rencontrer les médecins généralistes libéraux mais cette fois la visite sera consacrée à un seul des thèmes suivants : le respect de l’ordonnancier bizone, la prescription d’arrêts maladie ou la prescription de transports. Le thème sera défini en fonction des pratiques individuelles du professionnel.
Le programme d’information et de sensibilisation des assurés sur le bon usage des médicaments sera également poursuivi (Lettre d’information aux assurés, chroniquessur les radios.).
Plus généralement, ces efforts de maîtrise médicalisée des dépenses
devront être poursuivis en 2007.
.
*cf dossier de presse du 10 octobre 2006 « Evolution des dépenses de santé : une étude sur les coûts de traitement des affections de longue durée »
[url] http://www.ameli.fr/174/RUB/174/omb_cpdp.html[/url]
Revenir en haut Aller en bas
LE BARDE : a+b=x

LE BARDE : a+b=x


Masculin Nombre de messages : 175
Age : 80
Localisation : Mâcon
Date d'inscription : 03/10/2006

INFOS MEDIAS Empty
MessageSujet: suite du poid de l'obésité sur un peu tout!!   INFOS MEDIAS Icon_minitimeVen 13 Oct 2006 - 13:52

Je voudrai pas être salaud, mais ils visent qui dans cet article?
A+ Bisous
le Barde de Lard!
Revenir en haut Aller en bas
http://tibule2000.rmcinfo.fr
La_Mouette




Féminin Nombre de messages : 465
Age : 67
Localisation : idf
Date d'inscription : 02/10/2006

INFOS MEDIAS Empty
MessageSujet: Re: INFOS MEDIAS   INFOS MEDIAS Icon_minitimeMer 25 Oct 2006 - 13:30

AFSSAPS Communiqué de presse 24 octobre 2006
Agence Française de Securite Sanitaire des Produits de Sante
Citation :
Evaluation des nouvelles données de tolérance cardiovasculaire :
Le rapport bénéfice/risque des AINS reste favorable mais les précautions d’emploi doivent être renforcées
INFOS MEDIAS Lvrt

A la demande de l’Afssaps, l’Agence européenne du médicament (EMEA) a procédé depuis quelques semaines à l’évaluation de nouvelles données concernant la tolérance cardiovasculaire de certains anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) classiques*.
L’Emea a conclu que le rapport bénéfice/risque des AINS reste favorable. Dans l’attente du renforcement du RCP, l’Afssaps rappelle les règles de bon usage qui s’appliquent à tous les AINS, notamment, leur utilisation à la dose
la plus faible et pendant la durée la plus courte possible.
INFOS MEDIAS Lvrt
[color:0048=DarkRed:0048]
Des données récentes, issues d’essais cliniques et d’études épidémiologiques, suggèrent que les AINS classiques peuvent entraîner une élévation du risque d’infarctus du myocarde et d’accident vasculaire cérébral, en particulier lorsqu’ils sont utilisés à des doses élevées et au long cours.

C’est pourquoi, l’EMEA, à la demande de la France, a décidé d’engager une nouvelle réévaluation du rapport bénéfice/risque des AINS.
A l’issue de cette réévaluation, le Comité européen des spécialités pharmaceutiques a conclu le 18 octobre 2006 que le rapport bénéfice/risque des AINS reste favorable, bien qu’ils puissent être associés à une faible élévation du risque de thrombose artérielle (d’infarctus du myocarde ou d’accident vasculaire cérébral).
A la suite de ces conclusions, et dans l’attente du renforcement des informations contenus dans le RCP et la notice, l’Afssaps souhaite rappeler les règles de bon usage des AINS**, notamment :
- qu’ils doivent être utilisés à la dose minimale efficace pendant la durée la plus courte possible,
- que le choix d’un AINS doit se faire en tenant compte non seulement de son profil de sécurité d’emploi mais aussi des facteurs de risque individuels du patient,
- qu’il ne doit pas être procédé à la substitution d’un AINS par un autre, sans avoir pris en considération les profils de sécurité respectifs de chacune des substances actives et les facteurs de risque individuels du patient.
Dans ce contexte, l’Afssaps poursuit la surveillance active des AINS et rappelle que tout effet indésirable grave ou inattendu doit être signalé par les professionnels de santé aux centres régionaux de pharmacovigilance (CRPV).

* diclofenac, etodolac, ibuprofen, indomethacin, ketoprofen, ketorolac, meloxicam, nabumetone, naproxène, nimesulide et piroxicam.

Un rappel des règles de bon usage des AINS à destination des professionnels de santé est disponible ici:
http://afssaps.sante.fr/htm/10/ains/rappel_bonusage_ains.pdf

Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





INFOS MEDIAS Empty
MessageSujet: Re: INFOS MEDIAS   INFOS MEDIAS Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
INFOS MEDIAS
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» BPCO et MEDIAS
» BPCO et MEDIAS

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Apnées du sommeil, BPCO si on en parlait :: Apnées du sommeil-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser