Apnées du sommeil, BPCO si on en parlait
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Malades atteints de maladies respiratoires
 
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 y a des fois on se pose des questions

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LE BARDE : JOYEUXPAPIX

LE BARDE : JOYEUXPAPIX


Masculin Nombre de messages : 157
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MessageSujet: y a des fois on se pose des questions   y a des fois on se pose des questions Icon_minitimeDim 22 Nov 2009 - 10:52



Le(s) vaccins au H1N1 ... et au H5N1...
...au mercure, à l'aluminium et au squalène...

C'EST QUITTE OU DOUBLE ! ! !
[size=29]y a des fois on se pose des questions Bloodbar
[/size]


On ne nous dit pas tout... comme dirait qui vous savez...
Si, justement, hier à TF1, ils on quand même donné la composition des "adjuvants" : pas très engageant à se faire vacciner, effectivement... Se faire injecter du mercure, de l'alu et du squalène, même en traces, c'est avouer clairement q'ils veulent "faire" quelque chose de ... criminel... donc à long terme ... mortel ...
MAIS ARRÊTEZ CETTE MASCARADE ET DE NOUS PRENDRE POUR DES DÉBILES MENTAUX ! ! !
Le sujet est ce que l'on va vouloir nous injecter est stupidement et dramatiquement MORTEL ! ! !
Tapez dans Google "vaccin""mercure""aluminium" et vous verrez les sinistres prévisions...
Entres autres... et ce n'est que le début... cherchez bien de votre coté, et vous trouverez non pas de l'intox, mais sans doute des vérités cachées par nos putains de gouvernants et laboratoires...
On veut nous injecter en plus le "vaccin" de la grippe aviaire ... il va nous pousser des ailes et un groin, et on parlera en grrouuiiikk-grrouuiiikk ! ! !
Á lire, assez long, mais très instructif :
Le Post du 25/08/2009
Vaccin H1N1 contient du mercure et du squalène, danger!
Mercure, squalène, Grippe, vaccin, honte, génocide


Par mediadupeuple
le 25/08/2009 à 17:07, vu 20261 fois, 16
On a interdit le mercure des thermometres mais on l'autorise dans les vaccins, le mercure est même un puissant toxique tout comme l'aluminium remboursé par l'etat! sans blague!

Ce virus mycoplasmé continue d'être une énigme pour les virologues. Dans le numéro de Nature du 30 Avril 2009, il y a une citation d'un virologue disant : " d'où diable a-t-il bien pu récupérer tous ces gènes que nous ne connaissons pas "? Une analyse approfondie du virus a montré qu'il contenait le virus originel H1NI de 1918, le virus de la grippe aviaire, et deux nouveaux gènes du virus H3N2 d'Eurasie. Les discussions continuent sur le fait que le virus de la grippe porcine pourrait être un virus génétiquement conçu.
Les principaux concurrents sont Baxter Pharmaceuticals et Novartis Pharmaceuticals.
Ces deux multinationales ont passé des accords avec l' OMS (Organisation Mondiale de la Santé) pour produire un vaccin contre la pandémie
Le vaccin de Baxter, appelé Celvapan, a rapidement obtenu un certificat d'autorisation de mise en vente. Il est basé sur une nouvelle technologie virale cellulaire, qui utilise des cellules cultivées provenant du singe vert africain. Les tissus de ce même animal transmettent un certain nombre de virus contaminant les vaccins, dont le virus du VIH.
La société Baxter a été associées à deux scandales meurtriers. Le premier s'est passé en 2006 quand des composants hémophiles ont été contaminés par le virus du VIH et ont été injectés à des dizaines de milliers de personnes, dont des milliers d'enfants. Baxter a continué à mettre sur le marché des vaccins contaminés au VIH même après que la contamination ait été connue.
Le deuxième évènement s'est produit récemment quand on a découvert que Baxter avait mis sur le marché un vaccin contre la grippe saisonnière qui contenait le virus de la grippe aviaire, qui aurait pu produire une véritable pandémie dans 18 pays. Heureusement, des techniciens alertes de laboratoires de République Tchèque ont découvert la combinaison mortelle et ont éventé l'affaire avant que le désastre ne se répande mondialement.
Malgré ces deux évènements mortels, l' OMS a maintenu son accord avec Baxter¨Pharmaceuticals pour produire le vaccin contre la pandémie mondiale.
Novartis, le deuxième concurrent, a également un accord avec l' OMS pour un vaccin contre la pandémie. Novartis semble avoir remporté le contrat, car leur vaccin est bientôt prêt. Ce qui est terrifiant, c'est que ces vaccins contiennent un composant, dénommé adjuvant immunitaire qui est à l'origine de désordres auto immunes dévastateurs, dont l'arthrite rhumatoïde, la sclérose en plaques et le lupus, comme l'ont montré un certain nombre d'études.
Alors, quel est ce composant ? Dénommé squalene, c'est un composant huileux. La société Chiron, qui fabrique le vaccin contre l'anthrax mortel, fabrique un adjuvant le MF-59 qui contient deux principaux composants inquiétants - le squalene et le gp120. Un certain nombre d'études ont montré que le squalène peut déclencher, si injecté, toutes les maladies auto immunes citées ci dessus.

Le MF-59 a été utilisé dans plusieurs vaccins. Ces vaccins, dont celui contre le tétanos et la diphtérie, sont les mêmes vaccins fréquemment associés à des réactions négatives.
Il est fondamental de comprendre que ces vaccins sont fourni à titre expérimental, n’ont pas subi de test, sont toxiques et extrêmement dangereux pour le système immunitaire de l’homme. Ils contiennent des adjuvants faits à base de squalène qui provoquent toute une quantité de maladies auto-immunes mortelles ou entraînant des conséquences fâcheuses.
Le squalène dans les vaccins a été fortement lié au Syndrome de la Guerre du Golfe. En Août 1991, Antony Principi, Secrétaire pour les affaires des vétérans, a admis que des soldats vaccinés avec le vaccin contre l'anthrax de 1990 à 1991 avait eu un risque accru de 200% de développer une SLA, (Sclerose Laterale Amyotrophique), maladie mortelle, également dénommée maladie de Lou Gehrig. Les soldats ont également souffert d'un certain nombre de maladies handicapantes et réduisant leur espérance de vie, telles la polyarterite noueuse, la sclérose multiple ou sclérose en plaques(SEP), le lupus, la myelite transversale ( un désordre neurologique causé par une inflammation de la moelle épiniaire), l'endardite (une inflammation de la paroi interne du coeur), la névrite optique avec cécité et la glomerulonéphrite ( une pathologie du rein).
Parce que le squalène, principal composant dans le MF-59, peut induire une hyper réaction du système immunitaire et provoquer une réaction auto immune, un véritable danger existe d'une activation prolongée des cellules immunitaires du cerveau, les cellules de la microglie (cellules microgliales). Ce genre d'activation prolongée a été fortement associée à des maladies telles la Sclérose en Plaques, la maladie d'Alzheimer, la Sclérose Latérale Amyotrophique, et peut être aussi l'encéphalite liée à une vaccination. Il a été démontré que l'activation du système immunitaire systémique, comme cela se passe lors d'une vaccination, active rapidement en même temps la microglie du cerveau, et cette inflammation du cerveau peut persister pendant de longues périodes.
De même, comment le gp120 arriverait-il jusqu'au cerveau ? Des études d'autres adjuvants immunitaires utilisant des traceurs techniques précis ont montré qu'ils entrent habituellement dans le cerveau après vaccination. Ce que la plupart des gens ne savent pas, même les docteurs qui recommandent les vaccins, c'est que la plupart de ces études de ces firmes pharmaceutiques n'observent les patients que seulement pendant une ou deux semaines après la vaccination. Ce type de réaction peut prendre des mois ou même des années avant de se manifester.
Vous devez garder à l'esprit qu'une fois que le vaccin est injecté, vous ne pouvez pas faire grand chose pour vous protéger - au moins avec la médecine conventionnelle. Cela peut vouloir dire une vie affectée par une maladie invalidante et une mort prématurée.

http://expovaccins.over-blog.com/article-33523595.html
Quel est l´effet du scalène sur les rats ?
Il a été démontré que les adjuvants des vaccins faits à base d´huile, comme le scalène, provoque des réactions immunitaires concentrées permanentes sur de longues périodes.
Les résultats d´une étude publiée en 2000 dans l´ American Journal of Pathology ont montré qu´une seule injection de l´adjuvant scalène chez les rats provoquait « une inflammation spécifique et chronique des articulations » également connue sous le nom de polyarthrite rhumatoïde.
Les chercheurs ont conclu que cette étude soulevait des questions concernant le rôle des adjuvants dans les maladies inflammatoires chroniques.
Quel est l´effet du scalène sur les hommes ?
Le système immunitaire reconnaît le scalène comme étant une molécule d´huile produite par notre propre corps. Elle se trouve partout dans le système nerveux et dans le cerveau. En réalité, il est possible de consommer du scalène dans de l´huile d´olive. Dans ce cas, non seulement notre système immunitaire va le reconnaître, mais aussi nous en tirerons profit de ses propriétés antioxydantes
La différence entre le « bon » et le « mauvais » scalène consiste dans la manière dont il est introduit dans l´organisme. L´injection est une voie d´entrée anormale qui incite le système immunitaire à s´attaquer à tous les scalènes présents dans l´organisme, et non pas seulement l´adjuvant du vaccin.
C´est ainsi que le système immunitaire de notre organisme tentera de détruire cette molécule partout où il la trouve, y compris dans les endroits où elle s´est introduite naturellement et où elle est indispensable pour le système nerveux.
Les vétérans de la guerre du Golfe, qui souffrent du syndrome de la Guerre du Golfe (GWS), ont reçu des contre des vaccins contre le charbon qui contenaient du scalène. Le MF59, adjuvant scalène utilisé par Novartis, était une composante non autorisée du vaccin expérimental contre le charbon. Depuis, il a été associé aux maladies meurtrières dont souffrent d´innombrables soldats ayant participé à la guerre du Golfe.
Le Département de la défense a fait toutes les tentatives pour nier le fait que le scalène était en effet une composante du vaccin contre le charbon administré au personnel militaire, déployé ou non, ayant pris part à la guerre du Golfe, ainsi qu´aux participants du récent Anthrax Vaccine Immunization Program (AVIP, programme d´immunisation contre le charbon).
Toutefois, la Federal Drug Administration a découvert la présence du scalène dans certains lots du produit AVIP. Un test a été mis au point en vue de détecter la présence des anticorps anti-scalènes chez le patient du GWS. Il a montré qu´il existe un lien entre le produit contaminé et tous les malades du GWS qui ont reçu des doses du vaccin contenant du scalène.
Selon le Dr Viera Scheibner, Ph.D, ancien « principle research scientist » auprès du gouvernement en Australie :
“… cet adjuvant (le scalène) a été à l´origine d´une cascade de réactions appelées « Syndrome de la Guerre du Golfe » observées chez les soldats impliqués dans la Guerre du Golfe.
Parmi les symptômes qu´ils ont développés, l´on peut retenir l´arthrite,la fibromyalgie, la lymphadenopathie, les éruptions cutanées, les éruptions photosensibles, les éruptions malaires en ailes de papillon, la fatigue chronique, les maux de tête chroniques, perte anormale de poils, les lésions cutanées incurables les ulcères aphteuses, les vertiges, l´asthénie, la perte de mémoire, les troubles neurologiques de la marche, les changements d´humeur, les problèmes neuropsychiatriques, les effets des anti-thyroïdiens, l´anémie, une vitesse de sédimentation globulaire (ESR) élevée, le lupus érythémateux systémique, la sclérose multiple, la sclérose latérale amyotrophique (SLA), le phénomène de Raynaud, le syndrome de Sjorgren, la diarrhée chronique, les transpirations nocturnes et les températures subfébriles. »

Voici un article incontournable du docteur américain J. Mercola, qui expose clairement pourquoi il ne faut surtout pas accepter , ni surtout laisser injecter aux enfants, des vaccins contenant du squalène.

Selon Kathleen Sebelius, ministre du département de la Santé et des Services Humains des Etats-Unis (US Department of Health and Human Services),votre enfant devrait être la première cible pour les vaccinations de masse contre la grippe porcine lorsque l’école débutera cet automne [I]
Ceci est un postulat ridicule pour de nombreuses raisons, sans parler d’un risque extrêmement élevé.
En Australe, où la saison infernale a commencé, la ministre fédérale de la santé Nicola Roxon rassure les parents en disant que la grippe porcine n’est pas plus dangereuse que la grippe saisonnière : « La plupart des gens, y compris les enfants, feront l’expérience de très légers symptômes et récupèreront sans aucune intervention médicale », dit-elle. [II]
Le spécialiste en immunisation basé à Sydney, Robert Booy, prédit que la grippe porcine pourrait être
fatale à environ deux fois plus d'enfants au cours de l'année que la grippe ordinaire. Booy estime que les enfants de 10 à 12 ans pourraient mourir du virus H1N1, comparativement aux cinq ou six décès dus à la grippe ordinaire que l’on voit chez les enfants durant une année moyenne en Australie. [III]
« Soignez la maladie, tuez le patient »
Moins de 100 enfants aux Etats-Unis meurent chaque année du virus de la grippe saisonnière. [IV] Si nous avons recours aux mathématiques de l'Australie, une estimation très approximative serait que 100 autres enfants pourraient potentiellement mourir de la grippe porcine aux États-Unis dans les prochaines années.
Si les enfants constituent la première cible aux Etats-Unis selon Sebelius, cela signifie que nous sommes sur le point d’injecter à environ 75 millions d’enfants un vaccin à suivi rapide et qui contient de nouveaux adjuvants, y compris le dangereux squalène, afin d’éviter peut-être 100 morts.
Je ne suis pas en train de négliger la tragédie de la perte de même un seul enfant en raison d’une maladie comme le virus de la grippe H1N1. Mais il ne faut pas y avoir de discussion quant au fait qu’une vaccination massive et inutile de millions d’enfants avec un vaccin qui contient un adjuvant connu pour provoquer une foule de maladies auto-immunitaires débilitantes est un plan imprudent et dangereux.
Pourquoi les vaccinations sont-elles dangereuses ?
L'intention présumée d'une vaccination est de vous aider à construire une immunité contre les organismes potentiellement nuisibles qui causent un mal et la maladie. Toutefois, le système immunitaire de votre corps est déjà conçu pour effectuer cela, en réponse aux organismes qui envahissent votre corps naturellement.
La plupart des organismes qui provoquent les maladies entrent dans votre corps par les muqueuses du nez, par la bouche, par le système pulmonaire ou par votre tube digestif - par le biais d'une injection.
Ces muqueuses possèdent leur propre système immunitaire, appelé le système immunitaire IgA. Il s'agit d'un système différent de celui qui est activé lorsqu'un vaccin est injecté dans votre corps.
Votre système immunitaire IgA est la première ligne de défense de votre corps.Son travail consiste à lutter contre l’invasion des organismes à leur point d’entrée, réduisant , ou même éliminant, le besoin d’une activation du système immunitaire de votre corps.
Quand un virus est injecté dans votre corps dans un vaccin, et en particulier en combinaison avec un adjuvant immunitaire comme le squalène, votre système immunitaire IgA est contourné et le système immunitaire de votre corps passe à la vitesse supérieure en réponse à la vaccination.
Injecter des organismes dans votre corps pour provoquer l’immunité est contraire à la nature, et la vaccination comporte un potentiel énorme pour causer de sérieux dommages à votre santé.
(voir sur http://articles.mercola.com/si...on-dangers.aspx ).
Et comme si les vaccins n’étaient pas suffisamment dangereux seuls…
... Imaginez-les munis d’un turbo.
Le principal ingrédient d’un vaccin contre est, soit des virus qui ont été tués, soit des virus vivants qui ont été atténués (affaiblis et rendus moins nocifs).
Les vaccins contre la grippe peuvent aussi contenir un certain nombre de substances chimiques toxiques
cf. http://articles.mercola.com/si...e-part-two.aspx ), y compris de l’éthylène glycol (antigel) , du Formaldehyde, du Phenol (acide carbolique) et même des antibiotiques comme le Neomycine et le Streptomycine. E plus des virus et autres additifs, de nombreux vaccins contiennent également des adjuvants immunitaires comme l’aluminium et le squalène.
Le but d'un adjuvant immunitaire qui est ajouté à un vaccin est de renforcer (munir d’un turbo) votre réponse immunitaire à la vaccination. Les adjuvants pour effet de faire sur-réagir votre système immunitaire face à l'introduction de l'organisme contre lequel vous êtes vacciné.
Les adjuvants sont censés faire en sorte que le travail soit effectué plus rapidement (mais certainement pas de façon plus sûre) , ce qui réduit la quantité du vaccin requise pour chaque dose administrée par individu. Moins de vaccin requis par personne signifie davantage de doses individuelles pour les campagnes de vaccination de masse . Et comme par hasard, c’est exactement l’objectif du gouvernement et des compagnies pharmaceutiques qui sont prêts à tirer des millions de leurs vaccins.
Y aurait-il des adjuvants immunitaires dans les vaccins contre la grippe porcine ?
Le gouvernement américain a conclu des contrats avec plusieurs sociétés pharmaceutiques afin de développer et de produire des vaccins contre la grippe porcine. Au moins deux de ces entreprises : Novartis (cf. http://articles.mercola.com/si...-marketing.aspx ) et GlaxoSmithKline (cf. http://articles.mercola.com/si...d-flu-scam.aspx ), utilisent un adjuvant dans leurs vaccins contre le H1N1.
Quel est cet adjuvant ? Le Squalène
Selon Meryl Nass, MD (medical director), qui est une autorité sur le vaccin contre l'anthrax !
"Une nouvelle caractéristique de ces deux vaccins contre le H1N1 qui sont en train d’être élaborés par les sociétés Novartis et GlaxoSmithKline est l'ajout d'adjuvants contenant du squalène afin d'accroître l'immunogénicité et de réduire considérablement la quantité d'antigène viral nécessaire. Ceci se traduit par une production beaucoup plus rapide des quantités de vaccin désirées."[V]
L’adjuvant au squalène propre à Novartis contre le H1N1 se nomme le MF59 . Celui de Glaxo l’ ASO3. Le MF59 doit encore être approuvé par la FDA pour son utilisation dans tout vaccin américain, malgré ses antécédents d'utilisation dans d'autres pays.
Selon le Dr. Nass, il n'existe que trois vaccins utilisant un adjuvant au squalène approuvés. Aucun de ces trois vaccins n’est approuvé pour une utilisation aux Etats-Unis.
Ce que le squalène fait aux rats
Il a été prouvé que la vaccination d’adjuvants à base d’huile comme le squalène génère des réponses immunitaires concentrées et soutenues au cours de longues périodes de temps. [VI]
Une étude datant de l’an 2000 et publiée dans l’American Journal of Pathology (journal américain des pathologies) a démontré qu’une seule injections de l’adjuvant squalène chez les rats déclenchait "une inflammation chronique du système immunitaire, liée à l’immunité et spécifique aux articulations", aussi connue sous le nom de polyarthite rhumatoïde [VII]
Les chercheurs ont conclu que l'étude soulevait des questions concernant le rôle des adjuvants dans les maladies inflammatoires chroniques.
Ce que le squalène fait aux humains
Votre système immunitaire reconnaît le squalène comme une molécule d’huile native de votre corps. On le trouve dans votre système nerveux et dans votre cerveau. En fait, vous pouvez consommer du squalène dans l'huile d'olive (cf. http://articles.mercola.com/si...lon-cancer.aspx ) et non seulement votre système immunitaire reconnaîtra celui-ci, mais vous profiterez aussi des avantages de ses propriétés antioxydantes.
La différence entre le « bon » et le « mauvais » squalène est la voie par laquelle il entre dans votre corps. L’injection est une voie d’entrée anormale qui incite votre système immunitaire à attaquer tout le squalène qui se trouve dans votre corps et pas seulement l’adjuvant du vaccin. Votre système immunitaire tentera de détruire la molécule partout où il la trouve, y compris dans les endroits où elle se rencontre naturellement, et où elle est vitale à la santé de votre système nerveux. [VIII]
Les anciens combattants de la guerre du golfe souffrant du syndrome de la guerre du golfe (Gulf War Syndrome ou GWS) avaient reçu des vaccins contre l’anthrax qui contenaient su squalène. [IX] Le MF59 (l’adjuvant au squalène de Novartis) était un ingrédient non autorisé dans les vaccins expérimentaux contre l’anthrax et a depuis été lié aux maladies auto-immunes dévastatrices dont souffrent d’innombrables vétérans de la guerre du golfe. [X]
Le Département de la défense a fait toutes les tentatives possibles afin de nier que le squalène était en effet un contaminant ajouté dans le vaccin contre l'anthrax administré au personnel militaire – déployé et non déployé - durant la guerre du golfe Persique -, ainsi qu’aux participants au plus récent Anthrax Vaccine Immunization Program (programme d’immunisation contre l’anthrax via un vaccin ou AVIP).
Toutefois, la FDA découvrit la présence de squalène dans certains lots de produits de l’AVIP.Un test fut développé pour détecter des anti-corps anti-squalène auprès de patients atteinst du syndrome de la guerre du golfe, et un lien clair a été établi entre le produit contaminé et tous ceux qui souffrent du syndrome de la guerre du golfe avaient été injectés avec le vaccin contenant du squalène.
Une étude menée à la Tulane Medical School et publiée dans le numéro de Février 2000 de la revue Experimental Molecular Pathology (pathologie moléculaire expérimentale) inclut ces étonnantes statistiques:
"... La grande majorité (95%) des patients ouvertement malades et qui ont déployé le syndrome de la guerre du Golfe GWS possédaient des anticorps anti-squalène. Tous (100%) les patients atteints du syndrome de la guerre du Golfe vaccinés pour leur service durant les opérations Desert Shield/Desert Storm (Bouclier du désert/Tempête du désert), qui n'ont pas été déployés, mais qui montraient les mêmes signes et symptômes que ceux qui ont été déployés, avaient des anticorps anti-squalène.
En revanche, aucun (0%) des anciens combattants déployés durant la guerre du Golfe Persique et ne présentant pas de signes et symptômes du syndrome de la guerre du Golfe ne possède d’anticorps anti-squalène. Ni les patients ayant une maladie idiopathique auto-immune ni ceux présentant des contrôles sains n’avaient dans leur sérum sanguin des anticorps anti-squalène détectables. La majorité des patients présentant des symptômes du syndrome de la guerre du Golfe avaient dans leur sérum sanguin des anticorps anti-squalène. » [XI]
Selon le Dr Viera Scheibner, Ph.D., un ancien scientifique en recherche fondamentale pour le gouvernement de l'Australie:
« ... cet adjuvant, le squalène, a contribué à la cascade de réactions appelée « Syndrome de la geurre du golfe », documentée chez les soldats impliqués dans la guerre du golfe. Les symptômes qu’ils ont développés comprenaient de l’arthrite, de la fibromyalgie, de la lymphadenopathie, des éruptions cutanées photosensibles (…) de la fatigue chronique, des maux de tête chroniques, des pertes de poils corporels anormales, des lésions cutanées ne guérissant pas, des ulcères aphteux, des étourdissements, de la faiblesse, des pertes de mémoire, des convulsions, des changements d’humeur, des problèmes neuropsychiatriques, des effets anti-thyroïde, de l’anémie, une élévation de l’ESR (Erythrocytes), du lupus erythemateux disséminé, de la sclérose en plaques, de la SLA (sclérose latérale amyotrophique), le phénomène de Raynaud, le syndrôme de Sjorgreen, de la diarrhée chronique, des sueurs nocturnes et des fièvres de bas grade ». [XII]
Le suivi post- vaccination pourrait aussi bien être non-existant.
Il n’y a pratiquement pas d’élément scientifique pour soutenir la sécurité des injections de vaccin sur votre santé à long terme ou sur la santé de vos enfants.
Les études de suivi durent moyenne deux semaines, et cherchent seulement les blessures et les maladies flagrantes.
Les troubles de l’auto-immunité, comme ceux qui ont été observés dans le syndrome de la guerre du Golfe prennent souvent des années à diagnostiquer en raison de l'imprécision des premiers symptômes. Des plaintes comme des maux de tête, de la fatigue et des douleurs chroniques sont les symptômes de différents maux et les maladies.
Ne retenez pas votre souffle en attendant que les fournisseurs et les promoteurs des vaccins se penchent sérieusement sur les conséquences que leurs campagnes de vaccination causent sur la santé à long terme.


Les masques ne protègent pas
L'explication.
http://www.slate.fr/story/4519/masques-chirurgicaux-grippe-porcine-epidemie-efficacite-utilite
mercredi 29 avril 2009

Alors que l'épidémie de grippe porcine - désormais rebaptisée «Grippe mexicaine» par l'OMS (Organisation mondiale de la santé) - s'accélère, certains habitants d'Amérique du Nord, affolés, se sont mis à porter des masques. Sur la Place de la Constitution de Mexico, l'armée a distribué des masques faciaux. Quant au personnel douanier travaillant sur la frontière avec les Etats-Unis, ils disposent d'un équipement de protection contre les virus , notamment des gants et des masques. (Cliquez ici pour voir les images.) Mais les masques chirurgicaux sont-ils une protection efficace contre les virus ? En 2003, Jon Cohen écrivait que le virus SRAS, dont la taille est minuscule (100 nanomètres) pouvait facilement traverser ces barrières. Tout porte à croire que la grippe porcine, qui fait entre 80 et 120 nanomètres, en est également capable. L'article de 2003 est republié ci-dessous.

Les photos spectaculaires de la population portant un masque chirurgical dans les rues des villes asiatiques touchées par le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) pose une question: ces masques offrent-ils une protection significative contre la maladie?
Les virus, y compris le coronavirus dont les scientifiques pensent qu'il est à l'origine du SRAS, ont une taille si infime qu'ils peuvent franchir ces obstacles. Plusieurs études ont même montré que les masques faciaux chirurgicaux ne permettent pas d'empêcher la transmission du bacille de Koch, une bactérie de plus grosse taille, qui provoque la tuberculose. Les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC) conseillent aux personnes atteintes du SRAS de porter un masque chirurgical. Toutefois, ils ne recommandent pas le port d'un masque aux personnes en contact avec ces patients, sauf si ces derniers ne peuvent pas en porter un. Porter un masque chirurgical à l'extérieur, là où les particules virales se dispersent aisément est encore moins utile.
Les CDC recommandent au personnel de santé s'occupant de patients atteints du SRAS de porter un masque spécial appelé «respirateur N95». Cependant, même ce type de masque offre une protection limitée contre les coronavirus. Le nom de ce masque en dit long. Le «95» signifie que ce masque, s'il est porté correctement - et la façon dont il est porté constitue une condition cruciale - est capable de filtrer les particules supérieures ou égales à 0,3 microns, dans 95% des cas. (Pour vous donner une idée, le diamètre d'un cheveu mesure environ 100 microns.) Les coronavirus humains mesurent entre 0,1 et 0,2 microns, c'est-à-dire une à deux fois moins que la taille limite interceptée par le masque.
Sergey Grinshpun, physicien chercheur à l'Université de Cincinnati (située dans l'Ohio), a étudié les respirateurs N95. Il en a conclu que l'efficacité de ces masques dépend en fait des «séries de fabrication». Différentes sociétés fabriquent des masques d'une série plus ou moins efficace en dessous de 0,3 microns. En d'autres termes, les masques d'un fournisseur, s'ils sont correctement portés, pourront filtrer 92% des coronavirus, et ceux d'un autre seulement 50%!
«Il semble qu'on soit mieux protégé si on en porte un plutôt que rien du tout», reconnaît Sergey Grinshpun. Il fait remarquer, par ailleurs, que les virus circulent souvent sur des molécules porteuses de plus grande taille - des gouttes de mucus par exemple -, ce qui facilite leur filtrage.

C'est pourquoi la directrice des CDC, Julie Gerberding, a souligné la semaine dernière qu'il peut être utile de se recouvrir le visage d'un T-shirt quand on est en contact direct avec une personne infectée.
Pour se protéger efficacement contre les coronavirus, il faudrait porter un masque qui recouvre l'ensemble du visage et est muni d'un filtre anti-particules à haute performance (HEPA). Mais, comme l'explique Sergey Grinshpun, ces filtres de type HEPA sont «assez gênants».

Les masques ont le mérite de chasser quelque chose: la peur. Mais, en même temps, la vision de tant de monde avec des masques rend la peur contagieuse. Et contre la peur hélas, il n'y a pas de protection à base de séries de fabrication efficaces ou d'équipements portés correctement...
Jon Cohen
Article traduit par Micha Cziffra

24.09.2009
Vaccins H1N et information des patients : Le petit doigt sur la couture du pantalon ( bis )
Note : pour une raison inexpliquée, cette note publiée le 22 Septembre 2009 passe mal sur certains navigateurs. La revoici, sans les illustrations et « effets » de mise en page…

A l’heure où j’écris ces lignes, les vaccins H1N1 n’ont toujours pas obtenu en France leur Autorisation de Mise sur le Marché. Leur efficacité, leur sécurité d’emploi ne sont pas encore déterminés. Des inquiétudes se sont faites jour sur les conditions de fabrication de certains d’entre eux, certaines firmes ayant choisi d’utiliser des adjuvants pour « booster » l’efficacité des vaccins tout en diminuant la dose d’antigène viral, long et difficile à fabriquer en quantité suffisante eu égard aux promesses de doses « pré-vendues »… Experts, professionnels de santé sur le terrain, pharmacologues, participent de cette controverse, qui n’est pas une polémique, mais une démarche scientifique normale. Aucun médicament ne devrait être mis sur le marché, aucun article médical ne devrait être publié, sans qu’une critique honnête et argumentée n’en soit possible. Les arguments de ceux qui sont favorables à la vaccination, comme ceux des opposants, sont audibles. Les arguments des firmes pharmaceutiques aussi : les gouvernements les ont mis en demeure, en très peu de temps, de fabriquer un vaccin en très grande quantité… d’où leur demande d’immunité juridique en cas d’effet secondaire post-vaccinal ( octroyé au moins aux USA et au Canada, si je ne m’abuse)… mais cette immunité juridique pose évidemment quelque question quand les tenants de la vaccination expliquent que les conditions de fabrication du vaccin H1N1 sont en tout point similaires à celles du vaccin antigrippal saisonnier….
A l’heure où j’écris ces lignes, donc, il est impossible de se prononcer sur l’efficacité et l’inocuité des vaccins H1N1, puisque les données ne sont pas encore disponibles. Tout au plus notera t’on qu’il existe des vaccins avec ou sans adjuvants, et que les vaccins multidoses ( là encore dans le but de hâter la fabrication d’un nombre conséquent de doses) contiennent un conservateur à base de mercure, le thiomersal, retiré des vaccins dans les années 2000 suite à un doute sur un lien avec l’autisme. Mais personne à l’heure actuelle n’est en mesure de déterminer si les vaccins, au-delà de la création d’anticorps, sont efficaces pour protéger la personne vaccinée contre le virus H1N1, ni, surtout, si une vaccination de masse n’amènerait pas à constater des effets indésirables neurologiques rares, comme ce fut le cas lors de la campagne vaccinale US de 1976.
On en est réduit aux hypothèses, aux modèles mathématiques, et à l’incertitude, d’autant que la gravité de la grippe pandémique est encore très difficile à déterminer, certains considérant qu’elle est moins dangereuse qu’une grippe saisonnière ( en se référant, par exemple, au nombre de décès par rapport aux nombre de cas aux USA), d’autres affirmant qu’elle serait cent fois plus à même de déclencher des syndrômes de détresse respiratoire aigüe ( voir note précédente sur l’estimation du Pr Flahault). Et de la gravité de la pandémie dépend en partie le rapport « bénéfice-risque » du vaccin…
Or cette incertitude scientifique ne fait guère le jeu du politique. Ayant commandé 94 millions de doses de vaccin pour, semble t’il, près d’un milliard d’euros, la Ministre de la Santé ne peut se résoudre à payer le prix politique nécessaire si la campagne vaccinale s’avérait un échec. Notons d’ailleurs la prudence de loup du président de la République, qui ne s’est pas à ma connaissance exprimé sur ce sujet…
On a donc appris la semaine dernière que la France faisait don de 10 millions de doses vaccinales aux populations du tiers-monde… Charité bien ordonnée….
Interrogée à plusieurs reprises après la divulgation de sondages révélant qu’à l’heure actuelle, près de la moitié des professionnels de santé expriment des doutes sur leur décision de se vacciner éventuellement , Roselyne Bachelot s’est fendue de la déclaration suivante : « Je n'imagine pas qu'un professionnel de santé puisse ne pas se faire vacciner »
Singulier manque d’imagination, surtout lorsqu’on imagine aisément que ces sondages, ces prises de position, doivent bien être parvenus aux oreilles de la Ministre… qui recevait donc, en fin de semaine, les représentants des syndicats de médecins libéraux, afin de les exhorter à porter la bonne parole, comme le révèle Le Quotidien du Médecin aujourd’hui. On jugera de la pression qui a été mise sur ces confrères, on jugera aussi de la proximité de certains d’entre eux (grands perdants des dernières élections professionnelles mais maintenus en place par quelque tour de passe-passe législatif) vis-à-vis du pouvoir politique, ou de leur finesse, en fonction de leur réponse. Certains bottent en touche en attendant les conclusions des essais en cours (C’est bien le moins, et c’est une prudence minimale, médicale autant que politique), d’autres n’hésitent pas à se manifester comme champion du monde du petit doigt sur la couture du pantalon. Florilège…
Dr Pierre Lévy (CSMF) : un problème d’information
« La ministre est très préoccupée par cette question de l’adhésion personnelle des médecins à la vaccination. Il faut que les médecins soient eux-mêmes convaincus pour mettre en œuvre le plan de vaccination de masse. Or, actuellement, le lobby antivaccinal se répand dans les médias pour susciter doutes et inquiétudes. Nous pouvons espérer que, lorsque l’Agence européenne du médicament publiera les conclusions des essais en cours, nous disposerons de tous les éléments pharmacologiques et scientifiques pour combattre les idées fausses qui circulent aujourd’hui, en particulier sur les adjuvants. Les malentendus seront alors dissipés. »
Dr Jean-Claude Régi (FMF) : une question évolutive
« Les médecins sont soumis, comme les autres, aux campagnes médiatiques qui entretiennent la confusion. Mais leur état d’esprit par rapport à la vaccination ne pourra qu’évoluer avec les données épidémiologiques qui montrent que l’on n’est pas en présence d’une simple "grippette". Le ministère sait qu’il pourra s’appuyer sur le sens des responsabilités des médecins. Leur adhésion à l’intérêt d’une vaccination de masse ne fait pas de doute, dès lors que conclusions sur les essais seront connus. »
Dr Martial Olivier-Kœhret (MG France) : la majorité des médecins recommandera le vaccin
« Les médecins sont sans doute troublés par les informations qui circulent au gré des événements et d’une certaine psychose ambiante. Ils restent demandeurs de données scientifiques et vérifiées. Ils réclament aussi la création dans les plus brefs délais d’une cellule d’aide à la décision ville-hôpital, ainsi qu’un retour d’information sur leurs patients vaccinés. Cela dit, nous n’avons aucun doute sur l’éthique personnelle des praticiens, qui va prendre le dessus. Quand bien même ils seraient personnellement dans l’expectative, les médecins, dans leur écrasante majorité, vont inciter leurs patients à se faire vacciner. »
Dr Christian Jeambrun (SML) : état de guerre
« Face à la pandémie, les médecins sont là pour prêter main-forte aux pouvoirs publics. Nous allons vivre un état de guerre. Les libéraux ne sauraient exprimer le moindre état d’âme personnel sur le vaccin, sauf à provoquer un effet démobilisateur sur les patients qui serait désastreux. Se faire vacciner est certes un choix individuel. Mais, compte tenu de l’exemplarité qui doit être la leur, les médecins qui refusent personnellement le vaccin devront avoir à cœur de ne pas en faire état auprès de leurs patients. »
Le silence qui suit Mozart, c’est encore du Mozart.

PS: Un confrère consterné par cette dernière prise de position me rappelle utilement deux articles du code de déontologie médicale...

Code de Déontologie :
Article 14 (article R.4127-14 du code de la santé publique)
Les médecins ne doivent pas divulguer dans les milieux médicaux un procédé nouveau de diagnostic ou de traitement insuffisamment éprouvé sans accompagner leur communication des réserves qui s'imposent. Ils ne doivent pas faire une telle divulgation dans le public non médical.
Article 35 (article R.4127-35 du code de la santé publique)
Le médecin doit à la personne qu'il examine, qu'il soigne ou qu'il conseille une information loyale, claire et appropriée sur son état, les investigations et les soins qu'il lui propose. Tout au long de la maladie, il tient compte de la personnalité du patient dans ses explications et veille à leur compréhension. Toutefois, sous réserve des dispositions de l'article L. 1111-7, dans l'intérêt du malade et pour des raisons légitimes que le praticien apprécie en conscience, un malade peut être tenu dans l'ignorance d'un diagnostic ou d'un pronostic graves, sauf dans les cas où l'affection dont il est atteint expose les tiers à un risque de contamination.
Un pronostic fatal ne doit être révélé qu'avec circonspection, mais les proches doivent en être prévenus, sauf exception ou si le malade a préalablement interdit cette révélation ou désigné les tiers auxquels elle doit être faite.
SURTOUT NE PAS SE FAIRE VACCINER
Il y a un réel danger de se soumettre
à ce génocide programmé par les géants de l'industrie
pharmaceutique qui se fichent pas mal
si nous vivrons plus ou moins bien ou mal.
Il y a trop de monde sur Terre, par tous les moyens
il faut endiguer maintenant la population de la planète.

On ne peut plus faire des millions de morts par les guerres, alors on emploie des moyens plus radicaux,
plus indolores, et surtouts LÉGAUX ! ! !

Seuls survivront les éléments choisis au mérite,
et surtut à l'aptitude à travailler ! !
Ce n'est pas de la fiction, comme des films relatant
le vie future dans les années 3.000...

Nous seront soit des éléments d'élite asservissant
les peuples "d'en bas", soit nous seront ces asservis
vivant comme des fourmis, voire des robots bioniques
nourris par des adjuvants et vaccins encore inconnus...

Et que les dieux infernaux donnent leur quitus
à cette nouvelle société régie par un ordre nouveau...
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LE BARDE : JOYEUXPAPIX

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MessageSujet: Re: y a des fois on se pose des questions   y a des fois on se pose des questions Icon_minitimeDim 22 Nov 2009 - 10:54

pour mieux lire, passez la fleche dessus pour surligner et ça se lit bien
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